Soumission anonyme à MTL Contre-info
Le journal de Montréal s’est lancé dans une campagne de dénigrement envers les musulmans, après avoir passé la semaine dernière à dénigrer le nouveau ministre des transports (en défendant Yves-Francois Blanchet), la nouvelle journaliste de CBC et la nouvelle commissaire contre le racisme.
Depuis longtemps, ce journal fait l’apologie de la race blanche. Comment le nationalisme blanc peut-il être autant accepté dans les médias ? Ils disent que l’islamophobie n’existe pas, car les musulmans ne forment pas une race. C’est comme s’ils niaient qu’en 1940, des gens sont morts car ils pratiquaient le judaïsme. L’islamophobie existe tout comme l’antisémitisme.
Ces journalistes essaient à répétition de convaincre la population qu’ils sont la voix du peuple, et que ceux qui ne pensent pas comme eux sont des wokes, des gauchistes, des racialistes. Non seulement ils alimentent le racisme et l’intolérance, mais comme Mathieu Bock-Côté, ils banalisent l’extrême-droite et encouragent même son idéologie. Il ne suffit plus de dénoncer le racisme. Il faut pointer du doigt les racistes, leurs plateformes, leur idéologie nationaliste blanche.
Ils disent que le racisme, c’est croire que la race blanche est supérieure. C’est faux. Ça, c’est le suprémacisme. Dès qu’il y a de la discrimination, on trouve généralement un raciste bien à la vue, mais l’ironie quand ils disent leur définition du racisme c’est que leur titre parle un peu trop souvent de la race blanche.
Ils se victimisent sans cesse et puis désignent les anti-racistes comme étant les vrais agresseurs. C’est le temps de dénoncer haut et fort cette gang-là, avant de finir comme la France avec leur loi qui fiche et criminalise les musulmans.